Giroflée à
Cinq Branches
7
décembre 2009
Laisse aux portes ton
souffle,
souvenir qui s’éteint d’un
chagrin retenu,
esquissé par ta main sur
ma joue.
Masque rougi à quatre
branches,
je l’aurai préféré à cinq
pour
en faire une étoile que je
garderai là,
plantée en moi,
comme une épine dans le
pied.
Elle gênerait, mais,
me rappellerait à son bon
souvenir
à chaque pas
que
je
fais….
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